De toutes les créatures qui hantent le Jura, la Vouivre, dont le nom dériverait du latin vipera, en est sans conteste la reine. Depuis la nuit des temps, la Wivre comme la nommaient déjà les celtes, sillonne notre ciel. Marcel Aymé la dépeint sous les trais d’une jeune fille sensuelle et farouche, beaucoup la décrivent comme un serpent ailé qui apparaît la nuit, se déplaçant vite et surtout, portant à son front, une énorme pierre précieuse qui donnerait à celui qui s’en emparerait, un pouvoir extraordinaire.
Source: Contes et légendes du Lyonnais, de la Bresse et du Bugey
De toutes les créatures qui hantent le Jura, la Vouivre, dont le nom dériverait du latin vipera, en est sans conteste la reine. Depuis la nuit des temps, la Wivre comme la nommaient déjà les celtes, sillonne notre ciel. Marcel Aymé la dépeint sous les trais d’une jeune fille sensuelle et farouche, beaucoup la décrivent comme un serpent ailé qui apparaît la nuit, se déplaçant vite et surtout, portant à son front, une énorme pierre précieuse qui donnerait à celui qui s’en emparerait, un pouvoir extraordinaire.