Vers 1933, on racontait la légende de « la Segnegoga ». L’histoire se déroulait aux alentours de la grange Marchat et du col des Trois-Croix. Les segnegogues étaient amoureuses du crépuscule. Tantôt elles marchaient, tantôt elles volaient. Elles formaient, en dansant, un grand cercle autour d’un feu. l’une tendait aux autres une boisson contenue dans un sabot de cheval. “Les segnegogues” pouvait aussi prendre la forme de chandelles venant se placer au-dessus de la tête du passant attardé. On retrouve cette légende vers Evosges mais aussi dans l’ensemble du Bugey et de la Dombes
Source: Guy Saint-Pierre et Jean Dumarest, Richesses touristiques et archéologiques du canton d'Hauteville, Association le Dreffia, 1992
Vers 1933, on racontait la légende de « la Segnegoga ». L’histoire se déroulait aux alentours de la grange Marchat et du col des Trois-Croix. Les segnegogues étaient amoureuses du crépuscule. Tantôt elles marchaient, tantôt elles volaient. Elles formaient, en dansant, un grand cercle autour d’un feu. l’une tendait aux autres une boisson contenue dans un sabot de cheval. “Les segnegogues” pouvait aussi prendre la forme de chandelles venant se placer au-dessus de la tête du passant attardé. On retrouve cette légende vers Evosges mais aussi dans l’ensemble du Bugey et de la Dombes